Le dernier numéro du magazine ALADIN de juillet (n° 285) qui vient de paraître me consacre 4 pages pour parler de la restauration des jeux de société anciens, avec illustrations à l’appui.
Je souhaite rectifier les légendes des photos des pages 138 et 140 qui ne correspondent pas du tout aux photos choisies par le magazine.
Page 138 en haut à droite : Il ne s’agit pas d’une « notice de jeu, dédoublée» mais du verso publicitaire d’un jeu de l’oie sur papier édité pour la société de cirages et produits d’entretien LION NOIR qui avait sa fabrique à Montrouge.
Le document n’a pas été « dédoublé » comme indiqué dans la légende mais au contraire « doublé » d’un papier japon très fin qui permet de conserver la lisibilité du texte et de pouvoir manipuler et utiliser le jeu sans risque de le déchirer.
Page 138 en bas : il ne s’agit pas du tout du « jeu de l’oie La France et la Russie de 1898 » mais d’un jeu de l’oie du début du 20e dont la charnière en toilé était déchirée.
Page 140 à droite : comme vous pourrez le corriger vous-même, il ne s’agit pas d’un « jeu de petits chevaux » mais du jeu de l’halma qui a fait l’objet d’un dépôt de brevet aux Etats-Unis en 1888. Il est devenu vite très populaire et a pris le nom actuel de jeu de dames chinoises.
Page 140 en bas : Il ne s’agit bien évidemment pas d’un « jeu de loto » mais tous simplement d’une boîte de jetons en bois ayant fait sans doute partie d’un grand coffret de jeux réunis comme c’était la mode fin 19e et début 20e.
A l’approche des « grandes vacances »,
je souhaite à tous mes lecteurs de faire
d’heureuses trouvailles
cet été sur les routes
de France et
d’ailleurs !